Archives du séminaire Groupe de travail : Risques
Groupe de travail : Risques
Le 07/05/2009 de 17:00:00 à 18:30:00
GODZINSKI Alexandre () The moral hazard effect in car insurance: evidence from Ireland.Texte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 06/05/2008 de 16:00:00 à 17:30:00
PONTHIERES G. (Univ. de Liège) Rectangularization and the Rise in Limit-Longevity in a Simple OLG Model
Groupe de travail : Risques
Le 10/04/2008 de 16:00:00 à 17:30:00
RATTO M. (Univ. de Paris 9) The indirect effects of auditing taxpayers
Co-auteurs : R. Thomas & D. UlphTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 24/01/2008 de 16:00:00 à 17:30:00
BRIERE M. (Univ. libre de Bruxelles) Crisis-robust bond portfolios
Co-auteur : A. SzafarzTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 06/12/2007 de 16:00:00 à 17:30:00
CHASSAGNON A. (GREMAQ) Comparative risk aversion and precautionary savings
Groupe de travail : Risques
Le 22/11/2007 de 16:00:00 à 17:30:00
MAVRIDIS D. (CNRS) Comittment an flexibility
Groupe de travail : Risques
Le 07/06/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
BOMMIER A. (Univ. de Toulouse 1) Comparative risk aversion and precautionary savings
Co-auteur (s) : A. Chassagnon & F. Le Grand
Groupe de travail : Risques
Le 31/05/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
Traditionally aversion to health inequality is modelled through a concave utility function over health outcomes. Bleichrodt et al. (2004) have suggested a "dual" approach based on the introduction of explicit equity weights. The purpose of this paper is to analyze how priorities in health care are determined in the framework of these two models. It turns out that policy implications are highly sensitive to the choice of the model that will represent aversion to health inequality.
Key Words: Equity, health, social welfare functions.
JEL Code: I10
BLEICHRODT H. (Erasmus University) Aversion to health inequalities and priority setting in health care
Co-auteur (s) : D. Crainich et L. EeckhoudtTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 26/04/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
In a number of countries one observes a steady decline in defined benefits pensions schemes, public or private, funded or unfunded, and a simultaneous expansion of defined contributions plans. One of the consequences of this trend is to deprive individuals at the time of their retirement from the benefit of collective annuitization. Collective annuities can be distinguished from individual ones in two ways. First, they tend to be cheaper because of their scale and because of inefficiencies in private annuity markets. Second they redistribute resources from short-lived to long-lived individuals. Our paper studies the role of collective annuitization. Both their redistributive incidence and efficiency aspects are accounted for. We assume that lifetime is uncertain and that there is a positive correlation between longevity and earnings. Collective annuitization (in part or in total) can be imposed on private savings or it can be “bundled” with a redistributive pension scheme. We show that the case for applying collective annuitization to private savings is weak. The case is stronger when collective annuities are associated with redistributive pensions. However, even in that case, collective annuitization may mitigate the redistributional benefits associated with the pension system.
PESTIEAU P. (PSE) Collective annuitization and redistribution
H. Cremer et J. M. LozachmeurTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 22/03/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
Pension funds can provide some intergenerational risk sharing by smoothing shocks on asset returns, using their financial reserves efficiently. In addition to the direct benefit of improved time diversification, this better allocation of risk allows the fund to take better advantage of the equity premium, thereby yielding an additional benefit for consumers. In this paper, our aim is twofold. First, we characterize the socially efficient policy rules of a collective pension plan in terms of portfolio management, capital payment to retirees, and dividends payment to shareholders. We examine both the first-best rules and the second-best rules in which the fund is constrained by a solvency ratio and by a guaranteed minimum return of workers’ contributions. Second, we measure the social surplus of the system compared to a situation where each generation would save and invest in isolation for its retirement. One of the main results of the paper is that the better intergenerational sharing of risk does not reduce the risk borne by each generation. Rather, it increases the expected return of the workers’ contributions.
Keywords: dynamic portfolio choice, pension, retirement, intergenerational risk sharing, financial intermediation.
GOLLIER C. (Univ. de Toulouse) Intergenerational risk sharing and risk taking of a pension fundTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 08/03/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
LEGER P.T. (HEC) *
Groupe de travail : Risques
Le 15/02/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
Les contrats d'annuités permettent d'assurer contre le risque de longévité en fournissant aux souscripteurs un flux de revenus qui s'éteint après le décès. Ces contrats offrent généralement un niveau prédéterminé d'annuités que l'épargnant ne peut moduler en fonction des nouvelles informations qui surviennent. Nous nous interrogeons sur le caractère optimal de ces contrats. Si les épargnants révisent au cours du temps leur probabilité de décès, il est optimal de fixer une trajectoire prédéterminée d'annuités qui ne tient pas compte des révisions futures des probabilités de décès. En revanche, dans le cas où les épargnants rencontrent des besoins de liquidités inassurables, il est préférable de laisser les épargnants moduler leur niveau d'annuité à chaque période afin de lisser la consommation. La rigidité est donc préférable dans le premier cas alors que la flexibilité l'est dans le second cas. Dans un modèle où les deux types de risque (sur la longévité et sur les besoins de liquidité) surviennent, nous montrons qu'un certain degré de flexibilité reste optimal, même si le lissage parfait de la consommation n'est plus possible.
DIRER A. (PSE) Annuités flexibles
Groupe de travail : Risques
Le 01/02/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
BACCOUCHE M. (Axa) Options de rente dans les contrats d'assurance
Groupe de travail : Risques
Le 18/01/2007 de 16:00:00 à 18:00:00
VILLENEUVE B. (Univ. de Tours) Risk Aversion and the Value of Risk to Life (CESifo WP)
Co-auteur (s) : A. Bommier
Groupe de travail : Risques
Le 16/11/2006 de 16:00:00 à 18:00:00
Decisions under risk are often multidimensional, where the preferences of the decision maker depend on several attributes. For example, an individual might be concerned about both her level of wealth and the condition of her health. Many times the signs of successive cross derivatives of a utility function play an important role in these models. However, there has not been a simple and intuitive interpretation for the meaning of such derivatives. The purpose of this paper is to give such an interpretation. In particular, we provide an equivalence between the signs of these cross derivatives and individual preference within a particular class of simple lotteries.
EECKHOUDT L. (Univ. catholique de Mons) A Good Sign for Multivariate Risk Taking
Co-auteur (s) : B. Rey & H. Schlesinger Texte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 09/11/2006 de 17:00:00 à 19:00:00
La présentation proposera des pistes de réflexion pour l'analyse de la responsabilité civile dans la prévention des accidents thérapeutiques, dans un contexte où la probabilité d'accident peut dépendre des précautions imparfaitement observables de plusieurs agents (patient, médecin traitant, établissement de soins) et où certains de ces agents peuvent être couverts par une assurance de responsabilité. La présentation s'inspirera des articles "Liability Rules under Evientiary Uncertainty" et "Liability Insurance under the Negligence Rule"
This paper considers the e¢ ciency of liability rules when courts obtain imperfectly informative evidence about precautionary behavior. I ask what tort rules are consistent with socially e¢ cient precautions, what informational requirements the evidence about the parties’behavior must satisfy, how courts should decide when faced with imperfect ev- idence, whether court-decision making can be formulated in terms of the legal concept of standard of proof, and whether some general char- acterization of the e¢ cient standard can be given. [Jel. D8, K4] Keywords: Contributory negligence, comparative negligence, moral hazard, standard of proof, punitive damages.
FLUET C. (Univ. du Québec) Liability Rules under Evidentiary UncertaintyTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 19/10/2006 de 16:00:00 à 18:00:00
LUCHINI S. (GREQAM) Does charity begin at home for pollution reductions?
Co-auteur (s) : O. Chanel et J. ShogrenTexte intégral
Groupe de travail : Risques
Le 21/09/2006 de 16:00:00 à 18:00:00
Les tables de mortalité, permettant d'attribuer une probabilité de décès à un individu, constituent (avec les taux) la base du calcul actuariel en assurance vie. Cet exposé s'articulera autour de deux points. Dans un premier temps, nous étudierons les contrats permettant, au sein d'un couple, de verser une rente (annuelle) suite au décès du conjoint. Ces contrats, versant une rente du décès du premier conjoint jusqu'au décès du second, nécessite de prendre en compte non seulement les tables hommes/femmes, mais doivent aussi prendre en compte les dépendances qui peuvent exister entre les durées de survie de conjoints (effet dit coeur brisé, souligné par plusieurs médecins et démographes). Nous verrons à partir de ce problème simple comment modéliser les contrat sur deux têtes. En particulier, nous essayerons de quantifier l'erreur qui consiste à supposer ces durées de vie comme indépendantes.
Dans un second temps, nous rentrerons un peu plus en détails sur la construction d'une table de mortalité. La plupart des tables étant construites à partir d'un recensement à une date donnée, nous verrons les limites de ce genre d'approche, ne prennant pas en compte les aspects dynamiques. Nous présenterons en particulier le modèle de Lee- Carter permettant d'intégrer le risque de rallongement de la durée de vie. Nous conclurons là aussi en comparant le montant d'annuités basées sur les tables statiques, et sur des tables prospectives.
CHARPENTIER A. (ENSAE) Quelques problèmes liés aux tables de mortalité, et quelques réponses actuarielles